La sélection ROCK 2022 du 666. Vol.3

Suite de mes coups de cœur de l'année.

Seda Aznavour (1970) Single "Sapho"

La fille de qui vous savait n'auras jamais réellement percée, mais ce 45t dont la face A est la chanson du film "Sapho ou la fureur d'aimer" est plutôt réussi.

 

THE BISHOPS

Trio composé de deux frères jumeaux anglais et d'un ami écossais. Très influencé par le rock britannique des 60's mais, en apportant une touche de modernité avec un talent certain pour les compositions percutantes. Un peu de Kinks, d' undertones soupoudré de Jam et vous obtenez le son des Bishops. Deux autres albums suivront dans un style plus pop, j'ai adoré le second (For now"2009"), moins le troisième (All lost time "2013").

Une femme presque fidèle (1977)

Suite de l'hommage à Dominique Paturel avec cette bonne pièce de Boulevard.

6 bonnes raisons de voir cette pièces :

1-Pour le plaisir de revoir Dominique Paturel.

2-MoniqueTarbès est impayable dans le rôle de la concierge.

3-Le trio principal est formidable, Jacques Bernard a aussi écrit la pièce.

4-VOus avez pu voir Jacqueline Gauthier dans une pièce proposée précédemment " Le mari, la femme et la mort".

5-Jacques Mauclair qui joue le mari de la concièrge a aussi mi en scène cette pièce.

6-Sacha Briquet en fait des tonnes dans son rôle de folle. 

 Synopsis ↑

R&F Monster CD #7

Après les pochettes de noël en décembre dernier, on reprend la série dans l'ordre chronologique avec un beau sampler bien varié.

RIF (1977) Hommage à Dominique Paturel

Petit hommage à Dominique Paturel qui nous a quitté le 28 février dernier à l'âge de 90 ans avec cette série TV policière non dénué d'humour. Je vous propose les 5 premiers épisodes qui forment une histoire complète. L'image saute de temps en temps + quelques défauts de couleurs et de son comme pour une vhs abîmée. C'est réalisé sans grand moyens, mais quel plaisir de retrouver le regretté Dominique Paturel avec Michel Roux comme acolyte qui nous la joue Dany Wilde, sans oublié Mylène Demongeot et Michel Vitold.

Recherche dans l'intérêt des familles : Fausse manœuvre.

 Synopsis : A la mort de son père, planteur à Madagascar, Alcine Briant (Mylène Demongeot) décide de liquider les affaires de famille et de rentrer en France. Là, elle cherche à prendre contact avec les membres de sa famille, deux oncles, Titus et Aubin. Lorsqu'elle se présente au domicile d'Aubin, entomologiste, elle apprend que celui-ci a disparu depuis 10 mois, en laissant le loyer impayé et des dettes. Son oncle Titus (Michel Vitold), un général en retraite, vieil ours qui vit en solitaire dans son château de la Galtière, refuse de la recevoir. Elle charge donc deux inspecteurs, Mathieu et Tellier (Dominique Paturel et Michel Roux), appartenant au Service de Recherches dans l'Intérêt des Familles (Rif) de retrouver Aubin.

Bon appétit Monsieur ! (1967)

5 bonnes raisons de regarder cette pièce : 

1-La pièce fait plus de 2 heures et pourtant, on ne voit pas le temps passer.

2-Raymond Souplex interprète une fois de plus un commissaire.

3-Des seconds rôles savoureux, Jacques Marin en tête.

4-Le jeune Jean-Paul Tribout (Pujol dans les brigades du Tigre) interprète le fils de Souplex.

5-Pierre Louis : comédien de cinéma, théâtre, télévision, réalisateur, animateur, complice de Guy (pénible) Lux. Bref, il était partout.

 Synopsis : ↑

Claude Vinci (1969) "chansons de la grande patience" N.1

Claude Vinci enregistra huit albums entre 1963 et 1972 puis travaillera pour le cinéma avant de faire un bref retour en 1993. Je n'ai pas d'autres disques de ce chanteur, mais j'en écouterai bien plus, notamment le N. 2 des "chansons de la grande patience".

Pour écouter les titres, cliquez sur le HD des lecteurs zippy, sinon ça donne une résonance bizarre.

John William (1969) Modern Spirituals

L'autre jour, je me disais qu'il y avait longtemps que je n'avais pas numérisé un 33T, après réflexion mon choix c'est porté sur cet album de ce bon vieux John William peu mis en avant sur les blogs en général. Bien m'en a pris, il y avait longtemps que je ne l'avais pas écouté, assurément un de ses meilleurs albums, il est juste dommage que Jean Bouchéry ne se soit pas occupé de la direction musicale sur l'ensemble du disque pour donner un peu plus d'unité. Pour en venir au contenu, c'est du Gospel funk avec parfois des guitares fuzz (si si), et puis il y a la voix puissante et chaude de ce chanteur quelques peu oublié. D'autres disques de John William ici.